Qui Baise Un Jour… Baise Toujours Partie I

Ma première fois fut plutôt un échec. J'avais 16 ans et comme tous les jeunes de mon âge, je voulais goûter aux fruits défendus. Tout le monde autour de moi en parlait comme d'une expérience extraordinaire et du stade ultime pour enfin devenir un homme. À cette époque Collège, j'avais plutôt du succès avec les filles sans prétention, mais mes relations stagnaient souvent au stade du bisou et du doitage de petite chatte pubère. J'aurais pu sûrement franchir le cape avec plus d'une mais j'étais malheureusement un peu trop gentil et naïf à cette époque car je ne concevais pas de prendre la virginité d'une fille sans que nos sentiments soient vraiment sérieux. J'ai pourtant vite appris qu'après mes ruptures, certaines de ces même filles à qui j'avais donné mon respect se fessaient baiser comme des petites chiennes en chaleurs par des garçons un peu plus entreprenant que moi.

J'ai donc décidé de sauter le pas avec une des filles du quartier qui avait su épandre aux alentours une réputation de fille légère. La drague fut assez facile il faut dire, Sabrina la petite marocaine n'était pas du genre très farouche, c'est ainsi qu'en moins de trois jours, je perdais mon dépucelage. J'avais amené Sabrina un mercredi après-midi à la maison, camouflant son visage en dessous d'un gros blouson à capuche bleu pour que ma tante qui vivait chez nous à l'époque ne se rend pas compte que c'était une fille. C'est ainsi que j'expérimentais pour la première fois dans ma chambre les plaisirs du sex, Sabrina le jean baissé jusqu'aux chevilles et moi la chevauchant comme un chiot sans expérience. Ce fût bref... et je ne l'eus plus jamais revu.

J'ai pu me rattr l'été suivant avec une de mes voisines du quartier, Nadège, une petite black pas très jolie mais avec une paire de seins tellement énorme que mes deux mains réunies n'auraient pas suffi à en tenir un seul. Nadège et moi avions des amis en commun, on a commencé à traîner ensemble comme souvent pendant l'été où on se fait de nouveau ami parmi ceux qui ne sont pas parti en vacances

Elle ne me plaisait pas plus que ça à vrai dire mais je sentais que cela n'était clairement pas son cas et que j'aurais pu faire ce que je voulais de cette gentille fille.

Une nuit de juillet, la malchance a voulu que j'oublie mes clefs chez moi alors que mes parents étaient partis en déplacement pour voir de la famille. J'étais condamné à errer dehors lorsque j'ai pensé à aller frapper chez Nadège car vivant seul avec son père, il lui arrivait d'avoir souvent l'appartement pour elle toute seule et ce fut le cas cette nuit-là.

Nadège m'ouvrit la porte de chez elle, vêtu d'une petite culotte et d'un simple tee-shirt blanc deux fois trop grand pour elle, je pouvais deviner sous son tee-shirt un peu transparent ces deux énormes seins sans soutif, ses mamelons pointaient fièrement l'arrogance de la jeunesse, je résistais pour ne pas insister mon regard sur ces obus qui s'offrait à moi. Nous étions seuls dans la pénombre seulement éclairée par les réverbères de l'extérieur, Nadège me sera fort dans ses bras pour me dire bonsoir, je sentis son énorme paire de seins s'appuyer sur mon torse, une sensation de peau tendre et moelleuse qui vint se coller avec volupté contre moi. Sans le vouloir, ma bite a commencé à grossir dans mon caleçon.

Nadège me prit par la main et me ramena en direction de sa chambre, je n'arrivais pas à contrôler ce qui se passait dans mon pantalon. Ma bite battait la chamade comme un cœur qui palpite, je sentais les veines grossir comme si elles étaient sur le point d'exploser, là tout de suite et sans que je puisse rien y faire pour stopper le processus d'auto-destruction. Nadège s'installa dans les couvertures et m'invita à la rejoindre, j'enlevai donc mes baskets et mon jean, je ne put cacher plus longtemps la bosse qui s'était formée dans mon caleçon et qui fessait un angle droit en direction de son visage. Elle fit mine de ne rien voir et me laissa un peu de place pour que je m'installe auprès d’elle.


Allongées dans la pénombre des réverbères, les minutes défilèrent sans que nous ne prononcions un mot, l'ambiance était électrique et nous savions l'un comme l'autre comment finirait cette histoire. Je me retournai vers elle, ma bite en direction de ses fesses cambrées, une main se glissa lentement sous son tee-shirt trop grand, caressa lentement son ventre plat pour remonter petit à petit en direction de son énorme poitrine. Je lui saisis un sein... quelle surprise, ils étaient encore plus gros que ce que je pensais et ma main entourée à peine la superficie de ces magnifiques et géants seins, la taille d'une balle de handball aurait fait le même effet. C'était la première fois que je caressais des nichons d'une telle fermeté, je commençai à jouer avec le téton, le caressant avec douceur et attention, parcourant la peau de velours et chaude du bout de mes doigts d'adolescent en découverte du corps féminin. Je bandais tellement fort que mon sexe lui touchait maintenant clairement les fesses. Nadège se retourna et m'embrassa directement d'un baiser long et tendre, sa main se glissa maladroitement dans mon caleçon pour saisir ma bite qui ne tenait plus en place. Les veines de ce sexe devenu trop étroit déchiraient ma chair, Nadège commença à me faire des va-et-vient avec délicatesse pour soulager un peu la tension.


Je repris mes caresses sur sa poitrine, enlevant son tee-shirt afin de voir enfin l'objet de mon excitation, j'étais émerveillé par une si grosse paire de tétons, elles ressemblaient à celle des actrices porno dans les magazines sur lesquels je me masturbais en cachette dans la salle de bain de mon appartement familial. Irrésistiblement, n'y tenant plus, j'en gobai un à pleine bouche. Je le suçai comme un bébé tête le sein de sa mère, léchai les pointes, le mordilla, passant d'un sein à l'autre, les pris à deux mains pour me rendre compte de leur taille immense, mis ma tête entre les deux pour y respirer le nectar qui s'en dégageait. Sans plus attendre, j'installai Nadège sur le dos, me mis en position assise sur son ventre et dirigeai ma bite qui était au bord de l'explosion entre ses deux magnifiques seins. Commença alors une branlette espagnole digne de ce nom, mon sexe apparaissait et disparaissait entre les énormes seins de Nadège, quelle sensation de bien-être, quelle sensation de chaleur, pour ne pas la laisser en reste, je me penchai en arrière et commençai à introduire deux doigts dans sa fente dégoulinante de mouille, Nadège aussi était apparemment très excitée par la situation, son bassin suivait la cadence inverse de mes doigts pour que je m'enfonce plus profond à chacun de mes va et vient. Des petits soupires s'échappaient discrètement de sa bouche.

Par surprise, elle sortit une capote de dessous son oreiller, la coquine avait soit anticipée le coup où je ne devais pas être le seul à lui rendre des visites nocturnes. Je mis la capote assez difficilement et maladroitement dû à mon manque d'expérience , puis lui écarta largement les jambes et commença à y introduire ma bite qui y glissa sans aucun effort dans ce vagin lubrifié par l'excitation, Nadège poussa un petit cri quand ma bite fut au fond et que mes couilles remplies à ras bord lui cognèrent les grandes lèvres.

Je mis mes mains derrière son dos pour mieux l'agripper, ma tête et ma bouche plongeaient dans ses gros seins, je commençais alors mes mouvements de pénétration, j'accélérais puis ralentissais en finissant toujours par un coup sec et fougueux pour la remplir au maximum de mon engin, Nadège haletante dans mon oreille comme une petite chatte en chaleur, elle écarta encore plus largement les jambes à mi-chemin du grand écart pour laisser ma bite aller et venir sans aucun frein. Je pataugeais dans cette chatte mouillée à souhait, mon sexe allant et venant à sa guise dans ce vagin chaud et serré autour de mon gland... j'étais aux anges.

Je la retournai subitement pour la mettre en levrette, elle était encore plus pressée que moi de pouvoir pratiquer cette position et se cambra naturellement sans que je ne le lui demande, sa tête enfouit dans l'oreiller m'offrant son cul et sa vulve luisante de cyprine. J'y introduisis ma bite d'un coup sec qui lui fit crier à nouveau un soupir de satisfaction. Je l'agrippai à deux mains par les hanches et commençai à la défoncer fougueusement, hors de moi, le son de mes couilles frappant contre sa chatte résonnait dans toute la pièce, elle hurlait pratiquement de plaisir, mon cœur battait fort et vite, la pression montant de plus en plus quand soudain ne pouvant plus résister à temps de volupté.... je jouis... encore et encore... interminablement.... mon sperme remplissant toute la poche du préservatif et glissant même sur les côtés ... oui ! j'ai joui comme jamais….


Nous nous sommes effondrés dans le matelas avec un petit bisou de remerciement respectif, du haut de nos 16 ans, nous venions d'accomplir une baisse incroyable et digne de deux adultes expérimentés. Bien que je m'étais dépucelé avec Sabrina, Nadège fut toujours considéré comme ma première expérience sexuelle. Nous nous sommes revu plusieurs nuits durant cet été-là avant de nous perdre de vue pendant pratiquement 22 ans…

Mais ça, c'est une autre histoire.